L’UMI au cœur du projet Meknès Smart City
Pour assurer son rôle de catalyseur, fédérateur du projet Meknès Smart City, l’UMI a pour ambition de se doter d’un smart campus et décliner cette mission au triple niveau : recherche, formation et services à la société.
• Smart campus :
« A smart camp in a smart city ». Ce vocable signifie faire de l’université un Living Lab pour la cité, c’est-à-dire un terrain d’expérimentation pour tester et évaluer de nouveaux concepts en pilotes (dans le domaine technologique, en matière d’environnement, comme dans le domaine de l’inclusion sociale et développement humain). L’originalité du projet tient à son caractère fondamentalement systémique et son périmètre, impliquant les acteurs intra-UMI (chercheurs, étudiants, personnel administratif) et territoriaux. L’objectif étant de se doter d’un campus intelligent, numérique, connecté et responsable.
• Recherche :
il s’agit, à ce niveau, de concevoir et mettre en place des
actions concrètes, qui visent à renforcer l’expertise de l’UMI
et valoriser son potentiel de recherche, telles que :
• Alignement des expertises et du potentiel de recherche
de l’université sur les défis sociétaux et territoriaux
(environnement et changement climatique,
transformation digitale, inclusion sociale) ;
• Structuration et animation de l’écosystème de recherche
autour de la smart city ;
• Lancement d’un programme de recherche autour des
dimensions de la smart city dans le contexte marocain.
• Formation :
en consonance avec la recherche, la formation se doit d’être adaptative, flexible et orientée afin de répondre aux défis sociétaux. C’est ainsi qu’il convient d’identifier les besoins en matière de digitalisation des unités industrielles et d’ériger le digital et l’intelligence artificielle (IA) en priorité dans les filières de formation.
• Services à la société :
cette mission de l’université
pourrait être déclinée à travers des actions telles que :
- La mise en place des observatoires universitaires pour la
collecte et la diffusion de la DATA
- La mise en place d’un « Data Center » régional en
s’appuyant sur le partenariat Public Privé (PPP)